Les Ombres de la Vérité : quand la justice rectifie la réalité pour mieux l’enterrer

Convocations absurdes, faux signalements et vices de procédure : Les Ombres de la Vérité d’Angelique Kearsley dévoile, sous forme de témoignage romancé, les dysfonctionnements judiciaires et la manipulation légale d’un système qui se protège lui-même.

Les Ombres de la Vérité — Quand la procédure devient arme

On croit naïvement que la justice protège. La réalité, c’est qu’elle se protège elle-même.

Dans Les Ombres de la Vérité, je raconte comment un faux signalement s’est transformé en machine infernale : convocation au Tribunal Judiciaire, avocat obligatoire, quatre heures de route, voiture de location et frais à ma charge.

Tout cela pour rien. Ou plutôt : pour satisfaire l’ego d’un maréchal des logis dépassé et l’ambition d’une procureure désireuse de “montrer l’exemple”.

Dysfonctionnements judiciaires : la vérité rectifiée

Le mot clé est là : rectificatif.

Mon dossier mentionne une audition du 12 février… qui n’a jamais eu lieu. Pourtant, elle existe, signée et tamponnée. Des phrases entières m’ont été attribuées, mais je ne les ai jamais prononcées.

Voilà comment on fabrique une vérité officielle : en corrigeant d’abord, en inventant ensuite.

Et si vous contestez ? Deux mots suffisent à clore le débat : “non recevable”.

Une mise en danger économique et psychologique

Avocat obligatoire, déplacements coûteux, journées perdues : la punition est financière avant d’être judiciaire. L’innocent paie pour se défendre d’un vide procédural.

Et pendant ce temps, aucune protection n’est mise en place. Si j’avais été réellement en danger, je serais morte. L’institution promet de l’aide, mais livre au mieux un texto stérile de l’ISG après deux heures au téléphone. Voilà la bienveillance toxique.

Quand l’aide devient contrôle

La mécanique est simple : on vous écoute, puis on réécrit vos mots.

On vous dit “c’est pour votre bien” tout en vous transformant en suspect permanent. La bienveillance institutionnelle n’aide pas, elle contrôle.

Dans ce roman, comme dans la réalité, les acteurs changent — gendarmes, juges, amis trop zélés — mais la structure reste : un système qui se nourrit de ses propres incohérences.

Écrire plutôt que plier

On m’a conseillé de porter plainte.

À quoi bon ? Une plainte de plus, classée, oubliée. Alors j’ai écrit. Pas pour me plaindre, mais pour témoigner. Parce qu’un roman garde ce que la procédure efface.

Les Ombres de la Vérité est un miroir : il montre une justice qui rectifie la réalité au lieu de la rendre. Et si ma voix est aujourd’hui cynique, c’est parce qu’elle a survécu à l’absurde.

Conclusion : votre voix est recevable ici

Je sais que je ne suis pas seule.

Vous aussi, peut-être, avez reçu une convocation absurde, subi un faux signalement, payé des frais injustifiés.

Racontez-le. Ici, votre témoignage est recevable — sans tampon, sans rectificatif. Parce que la vérité ne devrait pas se négocier.

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